Cet article propose une filmographie sélective permettant d’illustrer le programme d’histoire de terminale (générale et technologique). Le classement se fait par les grandes entrées communes de différents programmes. Les films les plus « intéressants » sont balisés par une étoile (de façon très subjective !) par le coordinateur de cette filmographie.

Présentation

Utilisation

Pourquoi une filmographie en terminale ?

On peut décrire 3 usages :

– l’utilisation d’un extrait d’un film peut parfaitement illustrer un cours ou faire l’objet d’un travail d’analyse ;
l’exploitation de la totalité d’un film est possible pour ancrer le cours dans un contexte, une réalité aussi bien historique qu’artistique
– enfin il est possible de faire exploiter un/des film(s) par des élèves, hors de la classe, en guise d’approfondissement au cours (ce dernier usage vise plutôt les classes littéraires).

Les sources
Cinéhig
– les contributions, sur la liste H-Français de : Laurent Gayme ; Lionel Trigueros ;
– les filmographies de Michel Antony

Le classement

Le classement est un croisement entre les programmes de ES-L et S.
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Colonisation et indépendances

Cette partie reprend la formulation du programme de « S » ; en ES-L c’est la partie intitulée « Le Tiers-Monde« .

LA COLONISATION : 3 films recommandés

la victoire en chantant (JJ Annaud, 1976) : Afrique (confins de l’Oubanhui et du Cameroun), 1915, la Grande Guerre dans les colonies.

Coup de torchon (Bertrand Tavernier, 1981) : une bourgade africain, un policier trompé entre dans une transe meutrière.
Stanley et Livingstone (Henry King, 1939). Ce film s’insère dans une série de biographies (de Lesseps, Lincoln, Buffalo Bill, Edgar Poe…) produites en moins de dix ans par la 20th Century Fox de Darryl F. Zanuck, et raconte la recherche du Dr. Livingstone par le journaliste Stanley. C’est un film très riche pour nos programmes :

  1. une vision américaine sur la découverte et la colonisation de l’Afrique, qui commence par une séquence de conflit entre la cavalerie américaine et une tribu indienne. Tout le film joue sur cette comparaison entre la conquête du territoire américain et celle de l’Afrique.
  2. une dénonciation de l’esclavage et des esclavagistes, notamment dans une scène où la caravane de Stanley avec ses porteurs noirs rencontre une caravane d’esclaves enchaînés.
  3. une apologie de la figure du missionnaire et explorateur Livingstone, qui soigne les enfants, qui lutte contre le vol et la violence, qui fait chanter par les villageois africains avec lesquels il vit des cantiques religieux (de Noël je crois), et qui recherche les sources du Nil. Tout cela dans une seule séquence exploitable en cours.
  4. une longue séquence à la Société royale de Géographie de Londres où Stanley fait examiner les preuves de son voyage par des géographes hostiles, là encore utilisable en cours. Il se défend (en vain) dans un long plaidoyer où il explique qu’il est né Anglais mais pauvre, élevé dans des workhouses et pas à Eton, ce qui lui avait fait détester
    l’Angleterre.

  5. dans cette veine assez anti-anglaise, le film évoque aussi le rôle de la presse, en opposant la presse anglaise installée (qui affirme que Livingstone est mort) et la presse américaine en plein essor, qui fabrique l’actualité en allant sur le terrain avec des reporters globe-trotters.

LES INDEPENDANCES : 5 films

Gandhi (Richard Attenborough, 1982) : le destin de Gandhi porté par le jeu incroyable de Ben Kingsley.

Indochine (Régis Wargnier, 1992) : L’Indochine des années Trente.
La 317è section (Pierre Schoendoerffer, 1965) : Dien Bien Phu.
Le Crabe-Tambour (Pierre Schoendoerffer, 1977) : guerres d’Indochine et d’Algérie.
Chocolat (Claire Denis, 1987) : La vie d’un couple de Blancs parmi les Noirs peu de temps avant l’indépendance du Cameroun.

Spécial « Guerre d’Algérie » : 10 films

Les parapluies de Cherbourg (Jacques Demy, 1964) : la guerre à travers les difficultés de réadaptation à la vie civile d’un appelé du contingent.
Le vent des Aures (Mohamed Lakhdar Hamina, 1965) : Vision un peu trop sanctifiée de la femme algérienne, mais de superbes images et pour la première fois la femme tient le premier rôle. Une mère à la recherche de son fils traverse l’enfer causé par le conflit.
Les centurions (Mike Robson, 1966) : Fiction de type hollywoodien, mais pointant sur la liaison entre Indochine et Algérie, et sur l’usage de méthodes détestables, au point qu’un des officiers, écœuré, se retire. Tiré du roman de Jean LARTÉGUY. Film favorable aux militaires français. Film primé, avec notamment 3 Césars.
Le pistonné (Claude Berri, 1969) : Film humoristique autour de la volonté d’un jeune appelé d’échapper au service militaire en 1955. Mais c’est une veine tentative, et il fera ses 27 mois de service !
Elise ou la vraie vie (Michel Drach, 1970) : d’après le roman de Claire ETCHERELLI. Une jeune femme bordelaise monte à Paris, se lie aux immigrés algériens, fait de l’un d’eux son compagnon. Elle se lie un peu à la lutte clandestine, et perd définitivement son ami arrêté lors d’une rafle. Il s’agit d’un des rares films très explicites sur le FLN, mais dans sa branche française.
Avoir 20 ans dans les Aures (René Vauthier, 1972)
RAS (Yves Boisset, 1973) : Dénonciation militante de la guerre coloniale en 1956 et violente diatribe contre les officiers d’extrême droite et les soldats de métiers des Bataillons disciplinaires. Film interdit aux moins de 18 ans lors de sa sortie !
Chronique des années de braise (Mohamed Lakhdar Hamina, 1975) :
Le coup de Sirroco (Alexandre Arcady, 1979) : Vision humaniste, nostalgique et favorable aux pieds-noirs de l’époque algérienne, dans la région d’Oran. Premier grand film de ce genre porté par un ancien pied-noir.
Les roseaux sauvages (André Téchiné, 1995) : Fiction qui traite de la jeunesse à la fin de la Guerre d’Algérie (1962), et qui oppose un sympathisant communiste à un sympathisant OAS. 4 fois primé aux Césars. Voir des approfondissements au format Word sur le site de Besançon.
Nuit noire (Alain Tasma, 2005) : Film dautour de la manifestation d’octobre 1961 à Paris et de sa violente répression. Belle fiction, non manichéenne mais terrible pour le pouvoir français et pour le préfet de police Maurice PAPON.
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Le monde de 1945 à nos jours

LE MONDE EN 1945 : 7 films

Rome, ville ouverte (Roberto Rosselini, 1945).
Les assassins sont parmi nous (Wolfgang Staudte, 1946).
Le criminel (Orson Welles, 1946) :
Le voleur de bicyclette (Vottorio de Sica, 1948)
Allemagne année zéro (Roberto Rosselini, 1948).
Le troisième homme (Carol Reed, 1949).
Le tombeau des lucioles (I Takahata, 1989) : voir la piste pédagogique sur Cinéhig.

La GUERRE FROIDE : 14 films

13 jours (Ralf Donaldson, 2001).
Docteur Folamour (S. Kubrick, 1964) : formidable dénonciation de la Guerre Froide. Une piste pédagogique sur Cinéhig.

L’étoffe des héros (Philip Kaufmann, 1983) : la rivalité spaciale EU / URRS. Une piste pédagogique sur Cinéhig.
Le petit monde de Don Camillo ‘Julien Duvivier, 1951).
Les camarades (Mario Monicelli, 1963).
Bons baisers de Russie (Terence Young, 1964).
Le rideau déchiré (Alfred Hitchcock, 1966).
La planête ddes singes (Franckiln J Schaffner, 1968).
La lettre du Kremlin (John Huston, 1969.

Mash (Robert Altman, 1970).
Scorpio (Mickaël Winner, 1972).
Le Parrain II (Francis Ford Coppola, ) : les années 50 et la révolution cubaine sont bien décrites.
Soy Cuba (Kalatozov ) : (existe en dvd), sur Cuba une merveille d’esthétisme et de virtuosité, un film de propagande soviétique censuré (trop virtuose, la propagande passe du coup au second rang dans certains passages).
Quand passent les cigognes (Kalatozov, ) : sur le dégel khrouchtchevien (Palme d’Or à Cannes). Mais là il faut se lancer dans une analyse esthétique et thématique du film pour montrer en quoi il est le symbole d’un dégel idéologique. En gros c’est l’histoire de jeunes amoureux que la seconde guerre mondiale sépare : c’est un extraordinaire mélo (qui existe en dvd).

Spécial « Vietnam » : 14 films

Voir aussi les pages sur Thucydide ;

Le retour (Al Alshby, 1978) :
Voyage au bout de l’enfer (Michaël Cimino, 1978) :
Apocalypse Now (Francis Ford Coppola, 1979) :
Rambo (Ted Kotcheff, 1982) : voir plus loin.

Platoon (Oliver Stone, 1986) :
Garden of Stone (Francis Ford Coppola, 1987) :
Hamburger Hill (John Irving, 1987) :
Full metal Jacket (Stanley Kubrick, 1987) :
Good Morning Vietnam (Barry Levinson, 1988) :
Outrages (Brian de Palma, 1989) :
Né un 4 juillet (Oliver Stone, 1989) :
Forrest Gump (Robert Zemeckis, 1994) :

Nous étions soldats (Randal Wallace, 2002) :
Forrest Gump (Robert Zemekis, 1994) : le modèle américain ; la guerre du Vietnam… Une piste pédagogique sur Cinéhig.

Le NOUVEL ORDRE MONDIAL : 10 films

Rocky IV ( ) : utiliser l’entrainement entre rocky et Drago puis la scène finale (victoire de Rocky) dans le cadre de l’opposition est ouest…
La chute du faucon noir (Ridley Scott, 2001) : intervention US en Somalie. Une piste pédagogique pour la classe de troisième sur Cinéhig.
Good Bye Lenin (Wolfgang Becker, 2002) : la fin du communisme en RDA. Une piste pédagogique sur le site académique de Versailles.

Armageddon (Michaël Bay, 1997) :
Les rois du désert (DO Russel, 1999) :
Kippour (Amors Gitaï, 2000) :
Ten (Akira Katriostami, 2002) :
Intervention divine ‘Elias Suleiman, 2002) :
Farenheint 9 eleven (Michaël Moore, 2004) :
Hotel Rwanda (Terry George, 2004) : la crise des grands lacs et le génocide rwandais. Une analyse et des pistes sur le site de Lille.

Le MODELE AMERICAIN : 28 films

West Side Story (R. Wise, 1961) : comédie musicale. Une piste pédagogique sur Cinéhig.
Rocky IV ( ) : utiliser la séquence où sont comparés les méthodes d’entrainement des 2 boxeurs.
Retour vers le futur ( ) : utiliser les scènes où le héro débarque de 1985 dans la petite ville typiquement US de 1955.
Rambo (Ted Kotcheff, 1982) : le 1er opus de la série est un bon film (contrairement aux suivants !) qui reflète ce qu’a été l’ère Reagan et le fameux « America is back ».
– Le rêve américain à travers 4 films, sur Cinéhig :

  1. La vie est belle (Franck Capra, 1946)
  2. Little Big Man (Arthur Penn, 1970)
  3. Do the right thing (Spike Lee, 1989)
  4. Pleasantville (Gary Ross, 1998)

Laura (Otto Preminger, 1944) :
Gilda (Charles Vidor, 1946) :
Sunset Boulevard (Billy Wilder, 1950 :
Quand la ville dort (John Huston, 1950) :
On murmure dans la ville (Joseph L Mankiewicz, 1951) :
Chantons sous la pluie (Stanley Donen et Gene Kelly, 1952) :
Le train sifflera 3 fois (Fred Zinnemann, 1954) :
Sur les quais (Elia Kazan, 1954) :
La fureur de vivre (Nicholas Ray, 1954) :
Sept ans de réflexion (Billy Wilder, 1955) :
La poursuite impitoyable (Arthur Penn, 1966) :
Dans la chaleur de la nuit (Norman Jewison, 1967) :
Macadam Cow Boy (John Schlessinger, 1969) :
Taxi Driver (Martin Scorsese, 1976) :
Les hommes du président (Alan J Pakula, 1076) :
I… comme Icare (Henri Verneuil, 1979) :
Top Gun (Tony Scott, 1986) :
Mississippi burning (Alan Parker, 1989) :
JFK (Oliver Stone, 1991) :
LA Confidentials (Curits Hanson, 1997) :
– les ressources des « Prelinger Archives » : voir l’article de cinéhig.

Le MODELE COMMUNISTE : 7 films

Cette partie inclue également la partie du programme de ES-L intitulée « Le temps des démocraties populaires« .

Balzac et la petite tailleuse chinoise (Dai Siji, 2001) : la Chine de Mao. Une piste pédagogique en terminale BEP sur Cinéhig.
L’aveu (Costa Gavras, 1970) : les démocraties populaires. Une piste pédagogique sur Cinéhig.
Le bonheur d’Assia (Andrei Mikhalkov et Andréi Konchalovski, 1967) :
Moscou ne croît pas aux larmes (V Menchov, 1979) :
Bouge pas, meurt ressuscite (V Kanievski, 1989)
L’homme de marbre et l’homme de fer (Andréï Wajda, 1977 – 1981) :
Papa est en voyage d’affaire (Emir Kusturica, 1985) :
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L’Europe depuis 1945 : 6 films

Cette partie regroupe les 2 parties du programme de ES-L intitulées « L’Europe de l’Ouest » et « Les enjeux européens depuis 1989« .

No Man’s Land (Denis Tanovic, 2001) : la guerre en Bosnie. Une piste pédagogique sur Cinéhig.

Welcome in Vienna (Alex Corti, 1987) : les rapports est-ouest en 1945. Une piste pédagogique sur Cinéhig.
Allemagne, année zéro (Roberto Rossellini, 1947) :
Travail au noir (Jerry Skolinowski, 1982) :
Les virtuoses (M Hermann, 1997) :
L’Auberge espagnole (Cédric Klapish, 2002) :
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La France depuis 1945

Les TRANSFORMATIONS ECONOMIQUES, SOCIALES et CULTURELLES

Sous cette partie est aussi inclue la partie « De la société industrielle à la société de consommation » du programme de ES-L.

En France : 20 films

Mon Oncle (J Tati, 1958) : la France des 30 Glorieuses. Une piste pédagogique sur Cinéhig.

Le cheval d’orgueil (Claude Chabrol, 1980) :
Elise ou la vraie vie (Michel Drach, 1969) :
De la France rurale à la France urbaine à travers l’oeuvre de Jacques Tati : un travail pédagogique sur le site de Dijon.
Farrebique et Biquefarre (Georges Rouquier, 1946/1984) :
Le beau Serge (Claude Chabrol) :
A bout de souffle (Jean-Luc Godard, 1959) :
Les 400 coups (François Truffaut, 1959) :
Mélodie en sous-sol (Henri Verneuil, 1962) :
La chinoise (Jean-Luc Godard, 1967) :
Elle court elle court la banlieue (Gérard Pires, 1972) :
César et Rosalie (Claude Sautet, 1972) :
Playtime (Jacques Tati, 1967) :
L’argent de poche (François Truffaut, 1975) :
Un éléphant ça trompe énormément (Yves Robert, 1976) :
Une histoire simple (Claude Sautet, 1978) :
La passante du sans-souci(Jacques Rouffio, 1981) :
La vie est un long fleuve tranquille (Etienne Chatillez, 1987) :
Une époque formidable (Gérard Jugnot, 1991) :
La vie révée des anges (Eric Zonka, 1998) :

Dans le monde : 12 films

Rocco et ses frères (L Visconti, 1960) :
La classe ouvrière au paradis (E Petri, 1972) :
Le visiteur (J Gold, 1973) :
Pain et chocolat (F Busati, 1974) :
2001 l’odyssée de l’espace (Stanley Kubrick, 1968) :
Network (Sidney Lumet, 1976) :
Wall Street (Oliver Stone, 1988) :
Little Bouddha (Bertolussi, 1993) :
Denise au téléphone (H Salwen, 1994) :
Anna (Nikita Mikhailkov, 1994) :
The Truman Show (Peter Weir, 2002) :
The navigators (Ken Loach, 2002) :
Nos meilleurs années (MT Giordana, 2003) :

BILAN et MEMOIRE de la SECONDE GUERRE MONDIALE : 4 films

Papy fait de la résistance ( ) : utiliser la fin du film, c’est à dire le débat).
Marie Octobre (Julien Duvivier, 1959) :
Uranus (Claude Berri, 1991) :
Retour à la vie (film à sketches de Cayatte,
Clouzot, Dréville et Lampin, présenté à Cannes en 1949) : Facilement utilisable car les séquences durent de 10 à 20 minutes. Il s’agit du retour à la vie civile de déportés ou de prisonniers. Les histoires sont d’une qualité et d’un intérêt inégal, mais on peut en retenir trois :

  1. Le retour de la déportée des camps, encore marquée par son épreuve, à qui ses neveux et nièces (dont Bernard Blier)viennent extorquer une signature pour une sordide histoire d’héritage. Ils lui explique que, eux aussi, ont
    beaucoup souffert ! Réalisation de Cayatte impitoyable.

  2. Un prisonnier allemand s’échappe poursuivi par la police. Il est caché par un Français, lui même ancien soldat évadé (Louis Jouvet) . La situation se retourne lorsque le français apprend que le soldat allemandqu’il héberge, était distingué professeur devenu un tortionnaire nazi. Une situation imaginée par Clouzot (on peut à l’occasion rappeler le Corbeau, film pour lequel il eu maille à partir avec les autorités de la Libération)
  3. Un jeune homme (Serge Regianni) déporté du travail revient dans son village avec sa jeune épouse, une jeune allemande qui doit subir l’hostilité des habitants et qui est poussée au sucide. Film sur le refus du pardon et la
    vengeance. réalisation de Jean Dréville. (le film est a été édité en DVD René Chateau video).

L’EVOLUTION POLITIQUE : 3 films

Le président (Henri Verneuil, 1960) :
Partie de campagne (Raymond Depardon, 174) :
Vive la sociale (Gérard Modillat, 1984) :

LA FRANCE DANS LE MONDE : 0 film(s)
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La Mondialisation : 3 films

Les bronzés (Patrice Lecomte, 1978) :
La cité de la joie (Roland Joffé, 1992) :
Le Cauchemar de Darwin ()
– un court-métrage brésilien (devenu culte dans les milieux altermondialistes) court et saisissant : L’ïle aux fleurs (le parcours d’une tomate au Brésil, d’une cuisine de classe moyenne à un bidonville).
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La façade Pacifique : 1 film(s)

Lost in translation (Sofia Coppola, 2002) :
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Etats-Unis et façade atlantique

Voir l’article spécial de Cinéhig sur la filmographie permettant l’étude géographique des Etats-Unis.

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Brésil : 1 film(s)

La cité de Dieu, Drame de Katia Lund, Fernando Meirelles, 2002, film distribué par Mars distribution. Histoire qui se passe dans une favela de Rio avec la violence qui en découle.

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Russie : 0 film(s)

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Méditerranée : 0 film(s)